FABACEAE Lindl. (LEGUMINOSAE Adans.)
Famille composée de 765 genres et environ 19 580 espèces, ce qui en fait une des plus diversifiées chez les Angiospermes, avec une répartition quasiment subcosmopolite. Elle bénéficie d’une excellente représentation dans le N. de l’Afrique, avec pas moins d’un demi-millier d’espèces, arborescentes ou arbustives pour beaucoup d’entre elles.
Les sous-familles Caesalpinioideae, Mimosoideae et Papilionoideae ont traditionnellement été reconnues en son sein, en se basant fondamentalement sur les caractéristiques florales. Cependant, les études de phylogénie les plus actuelles, conduites à partir de données moléculaires, ne vont pas dans le sens de cette classification, et étayent la reconnaissance de 6 sous-familles (LPGW, 2017). Cette nouvelle conception maintient la reconnaissance des sous-familles Caesalpiniodeae et Papilionoideae, mais inclut dans la première les représentants de l’ancienne sous-famille Mimosoideae et exclut des genres aujourd’hui rattachés à de nouvelles sous-familles : Cercidoideae, Detarioideae, Duparquetioideae et Dialioideae.
Subfam. CERCIDEOIDEAE (Bronn) LPGW
Elle comprend 12 genres et environ 355 espèces, particulièrement représentées dans les zones tropicales, bien que le genre Cercis s’étende jusque dans les zones tempérées chaudes. De fait, ce dernier inclut l’arbre de Judée, C. siliquastrum L., indigène du S. de l’Europe, mais fréquemment cultivé à titre ornemental dans le N. de l’Afrique (Maroc, Algérie et Tunisie). Cette espèce est caractérisée par ses feuilles cordiformes ainsi que ses fleurs disposées en grappes qui naissent directement sur les rameaux, à l’instar de ses gousses pendantes. Bauhinia L. est l’unique genre de la sous-famille à inclure un représentant ligneux autochtone dans le N. de l’Afrique.
Subfam. CAESALPINIOIDEAE DC. (MIMOSOIDEAE DC.)
Elle réunit 148 genres et environ 4400 espèces, principalement représentées dans les régions chaudes, tropicales et subtropicales. Dans le N. de l’Afrique, ce groupe compte une représentation modérée d’espèces arborescentes et arbustives, à laquelle il conviendrait cependant d’ajouter certaines espèces allochtones cultivées dans le territoire en raison de leurs qualités ornementales, de leur capacité à fixer les sols ou comme source de bois, etc., et qui ont pu s’être naturalisées sous des circonstances et dans des zones données.
Ainsi, si aucune espèce du genre Parkinsonia L., qui inclut environ 15 espèces réparties en Amérique et en Afrique, n’est indigène de la région, la célèbre Épine de Jérusalem (P. aculeata L.), originaire d’Amérique tropicale, est fréquemment cultivée à titre ornemental. Il s’agit d’un arbre très esthétique grâce à ses fleurs jaunes, mais surtout à ses feuilles caractéristiques. Ces dernières sont bipennées, à nombreux folioles petits et disposées en 1-3 paires de pennes de jusqu’à 40 cm de long, naissant toutes d’un rachis court et transformé en une épine, au même titre que les stipules. Les pennes semblent donc être disposées de manière palmée et, lorsque les folioles chutent, les rachis secondaires, verdâtres et photosynthétiques, persistent pendant une période donnée. De la même manière, le genre Gleditsia L., qui comporte 14 espèces propres de l’Amérique et de l’Asie, est représenté dans le territoire du projet par le févier d’Amérique (G. triacanthos L.), un arbre indigène d’Amérique du Nord ; il est cultivé à titre ornemental, étant caractérisé par ses grandes et menaçantes épines ramifiées, ainsi que par ses gousses pendantes de grande taille, d’abord vertes puis finalement brunâtre-pourpré.
Parmi les genres auparavant inclus dans Mimosoideae, seuls Vachellia Wight & Arn., Senegalia Raf., Faidherbia A.Cheval., Prosopis L. et Dichrostachys (DC.) Wight & Arn., possèdent une représentation autochtone dans le territoire, tandis que les autres ne le sont que par des espèces cultivées, parmi lesquelles Leucaena Benth., Paraserianthes I.C.Nielsen, Albizia Durazz. et Mimosa L.
Le genre Dichrostachys réunit environ 14 espèces fondamentalement tropicales, à fleurs apétales disposées en inflorescences spiciformes. Parmi celles-ci, D. cinerea (L.) Wight & Arn., (Mimosa cinerea L., M. glomerata Forssk.), pour laquelle divers taxons infraspécifiques sont reconnus. Il s’agit d’un arbuste ou petit arbre épineux, à aire de répartition pantropicale, indigène de l’Afrique, habituellement au S. du 20ème parallèle, au Soudan, suivant le vallée du Nil jusqu’à atteindre le S. de l’Égypte. Il possède des feuilles bipennées, à épines stipulaires, et s’avère parfaitement reconnaissable grâce à ses inflorescences voyantes, spiciformes et pendantes, au sein desquelles les fleurs basales sont mâles, pourvues de longues étamines rosâtres, les autres étant hermaphrodites et jaunes.
Du genre Leucaena, dont 22 espèces indigènes des régions tropicales de l’Amérique sont connues, 2 sont cultivées dans la région, originaires du Mexique : L. leucocephala (Lam.) de Wit (M. leucocephala Lam., Acacia leucocephala (Lam.) Link), cultivée au Maroc et en Égypte, et L. pulverulenta (Schltdl.) Benth. (A. pulverulenta Schltdl.), au Maroc. La première revêt une grande importance en tant qu’arbre fourrager, mais s’avère extraordinairement agressive, et s’est donc déjà naturalisée dans de nombreux points du monde.
Paraserianthes est un genre monotypique dont l’unique espèce, P. lophantha (Willd.) I.C.Nielsen (A. lophantha Willd.), est cultivée au Maroc et en Algérie. Il s’agit d’un arbre originaire d’Australie qui a été introduit dans de nombreuses régions du monde. Il se distingue aisément par ses inflorescences spiciformes à fleurs de couleur crème ou jaunâtres, pourvues de longues étamines de la même couleur, légèrement soudées à la base par leurs filets.
Le genre Albizia, qui compte environ 130 espèces tropicales, est représenté dans le territoire par 3 espèces cultivées à titre ornemental. A. julibrissin Durazz., originaire d’Asie tropicale, est la plus commune (Maroc et Algérie), incomparable en raison du grand développement de ses étamines blanchâtre-rosâtre, qui donnent un attrait extraordinaire à ses fleurs. En revanche, A. lebbeck (L.) Benth. (Mimosa lebbeck L.) et A. procera (Roxb.) Benth. (M. procera Roxb.), d’Asie tropicalee, sont uniquement cultivées en Égypte et en Libye, et se distinguent de la précédente par la couleur blanchâtre-jaunâtre de leurs étamines.
Le genre Mimosa comprend environ 510 espèces au niveau mondial, desquelles seule M. pigra L. est représentée dans la région : espèce indigène d’Amérique du Sud (Paraguay et Argentine) et présentant une capacité envahissante notable, naturalisée en Mauritanie (vallée du fleuve Sénégal) et cultivée en Égypte. Il s’agit d’un arbuste au port important, à tiges et feuilles épineuses, nyctinastiques ces dernières, et fleurs en capitules gloméruliformes de couleur rosâtre, desquelles naissent le moment venu plusieurs gousses hirsutes-poilues, pourvues de cloisons entre les graines, et qui se désarticulent en articles à la maturité.
Enfin, de nombreuses espèces autochtones de cette sous-famille [Caesalpinioideae (Mimosoideae)] sont protégées dans différents pays du N. de l’Afrique, Au Mali, elles sont toutes incluses dans la Liste des espèces nécessitant une autorisation en vue de leur exploitation commerciale (Décret 07-155/P-RM de 2007).
Subfam. PAPILIONOIDEAE DC. (FABOIDEAE Rudd.)
Il s’agit sans aucun doute de la sous-famille la plus diversifiée à l’échelle mondiale, avec 503 genres et environ 14 000 espèces, quasiment cosmopolite, avec une vaste présence dans les zones tempérées. Elle est très bien représentée dans le N. de l’Afrique, où ses espèces arborescentes et arbustives jouissent d’une grande importance au sein des matorrals et forêts des milieux méditerranéens, ainsi que des zones subdésertiques.
De nombreuses espèces autochtones de cette sous-famille [Papilionoideae (Faboideae)] sont protégées d’une manière ou d’une autre dans les différents pays du N. de l’Afrique. Au Mali, elles sont incluses dans la Liste des espèces nécessitant une autorisation pour toute utilisation à des fins commerciales (décret 07-155/P-RM de 2007).
LPGW. 2017. A new subfamily classification of the Leguminosae based on a taxonomically comprehensive phylogeny. Taxon 66(1): 44-77.
Clé des genres
1 Fleurs actinomorphes, bisexuées, à symétrie radiale. Étamines : généralement plus de 10, libres 2
1 Fleurs ± zygomorphes, bisexuées et à symétrie bilatérale, ou bien actinomorphes mais apérianthées (ou quasiment), et fleurs unisexuées. Étamines : 5-10, libres ou soudées par leurs filets 7
2 Fleurs à 10 étamines, à anthères culminées par une glande. Arbustes de jusqu’à 1 m de haut. Gousse renflée, réniforme ou hétéromorphe Prosopis
2 Fleurs à nombreuses étamines, sans glande terminale. Arbustes ou arbres de grandes dimensions. Gousse ± linéaire, subcylindrique ou comprimée, ou bien toruleuse 3
3 Fleurs réunies en inflorescences spiciformes 4
3 Fleurs réunies en glomérules globuleux 5
4 Gousse large, très arquée Faidherbia
4 Gousse étroite, droit ou légèrement courbé Senegalia
5 Feuilles toutes ou en majorité réduites à des phyllodes Acacia pp
5 Feuilles bipennées, jamais réduites à des phyllodes 6
6 Arbres ou arbustes inermes Acacia pp
6 Arbres ou arbustes à épines d’origine stipulaire Vachellia
7 Fleurs sans périanthe ou peu notable ce dernier, actinomorphes, unisexuées, les mâles à 5 étamines Ceratonia
7 Fleurs à périanthe bien développé, ± zygomorphe, à 10 étamines ou plus 8
8 Fleurs à 5 pétales inégaux –un généralement plus grand que les autres–, fréquemment ouverts en étoile. Androcée à 10 étamines libres. Sépales fusionnés uniquement vers la base 9
8 Fleurs papilionacées, à 5 pétales très inégaux : 1 postérieur, ou étendard, 2 latéraux, ou ailes, et 2 antérieurs unis en 1 formant la carène. Androcée à 10 étamines, dont 9 sont généralement soudées par leurs filets formant un tube, rarement toutes libres. Pétales fusionnés sur une bonne partie de leur longueur 11
9 Feuilles simples, à limbe profondément bipartite ou bilobé Bauhinia
9 Feuilles pennées 10
10 Feuilles 1-pennées Senna
10 Feuilles 2-pennées Delonix
11 Plantes épineuses 12
11 Plantes sans épines ni rameaux spinescents 23
12 Indument à poils majoritairement ou tous bifurqués Indigofera pp
12 Plantes glabres, ou à indument de poils simples uniquement 13
13 Feuilles pennées, à rachis spinescent. Corolle rosâtre ou blanchâtre-jaunâtre 14
13 Feuilles simples ou trifoliées. Corolle jaune, blanche, rose, rouge, pourpre ou violette 15
14 Gousse de 6-85 mm, stipitée, plus longue que le calice, ou si incluse alors calice non villeux, à 2 graines ou plus Astragalus
14 Gousse de 5-6 mm, sessile, incluse dans le calice densément villeux, à 1 graine Astracantha
15 Corolle violette, bleu-violacé ou à prédominance rosâtre, rouge ou pourpre 16
15 Corolle jaune, blanche ou verdâtre-blanchâtre 18
16 Feuilles simples. Corolle rouge ou pourprée. Gousse lomantacée Alhagi
16 Feuilles simples ou trifoliées. Corolle violette, bleue, mauve ou à prédominence rosâtre. Gousse non lomantacée 17
17 Folioles entières. Corolle violette à bleu-violacé –exceptionnellement blanche. Plantes pulviniformes, à tiges et rameaux rigides et pointus Erinacea
17 Feuilles à folioles dentées. Corolle à étendard rosâtre, ailes et carène blanches. Tiges décombantes, ni rigides ni pointues, à épines simples ou géminées Ononis pp
18 Feuilles réduites à des phyllodes triangulaires sur les tiges adultes. Calice divisé jusqu’à la base ou presque en 2 lèvres, aplani latéralement. Arbustes intriqués-épineux, à épines très ramifiées 19
18 Feuilles bien développées sur les tiges adultes, bien que parfois rapidement caduques. Calice divisé en 2 lèvres jusqu’à la moitié ou moins, non aplani latéralement. Arbustes à épines éparses, généralement peu ou pas ramifiées 20
19 Calice divisé jusqu’à la base en 2 lèvres. Rameaux latéraux en majorité alternes Ulex
19 Calice divisé presque jusqu’au ¼ de la base. Rameaux latéraux en majorité opposés Stauracanthus
20 Corolle blanche ou verdâtre-blanchâtre Cytisus pp
20 Corolle jaune 21
21 Calice légèrement bilabié, circoncis à l’anthèse, ne persistant que la partie Inférieure à la fructification Calicotome
21 Calice nettement bilabié et persistant, à lèvre supérieure bidenté ou bipartite et lèvre inférieure tridentée ou trifide 22
22 Calice à lèvre supérieure bipartite, lèvre inférieure trifide et, de manière générale, plus grande que la supérieure Genista pp
22 Calice à lèvre supérieure bidentée et lèvre inférieure tridentée, de manière générale de taille similaire Cytisus pp
23 Tiges ailées, à 2 ailes marquées parcourant longitudinalement les entre-nœuds Pterospartum
23 Tiges aptères (sans ailes) 24
24 Plantes rétamoïdes, à tiges dressées, longues et fines, sans feuilles ou peu nombreuses et de petite taille, généralement unifoliées 25
24 Tiges dressées ou non, presque toujours très feuillues, à feuilles généralement trifoliées 30
25 Corolle rose ou pourpre. Gousse en lomentum, à segments clairement marqués, épineuses, qui se séparent à la maturité Taverniera pp
25 Corolle jaune. Gousse non lomentacée, déhiscente ou indéhiscente, jamais épineuse 26
26 Gousse renflée, ± globuleuse, obovoïde ou réniforme. Corolle blanche ou jaune Retama
26 Gousse ± comprimée. Corolle jaune 27
27 Calice bilabié, à 2 lèvres profondes, la supérieure bipartite en autant de dents ou segments, et l’inférieure tridentée Genista pp
27 Calice à peine bilabié, à 5 dents subégales, ou à lèvre supérieure très réduite et l’inférieure en guise de spathe à 5 petites dents distales 28
28 Feuilles toutes trifoliées, ou trifoliées et unifoliées sur une même plante Cytisus pp
28 Feuilles toutes unifoliées 29
29 Corolle de 20-30 mm. Calice à lèvre supérieure très réduite et lèvre inférieure en guise de spathe à 5 petites dents distales. Gousse de 4-12 × 0,5-0,8 cm, d’abord verte et séricée, puis glabre et de couleur brun foncé, à 10-18 graines Spartium
29 Corolle de c. 10 mm. Calice à 5 dents courtes, subégales. Gousse de 2,5-5 × 0,5-1 cm, glabre Calobota
30 Étamines libres entre elles. Corolle à carène presque 2 fois plus longue que l’étendard Anagyris
30 Étamines toutes ou majoritairement soudées par leurs filets. Carène généralement subégale ou plus petite que l'étendard 31
31 Tiges, feuilles et calices abondamment ponctués-glanduleux, à glandes qui ne saillissent pas ou à peine de la couche épidermique, sans poils glandulifères Cullen
31 Tiges, feuilles et calices non ponctués-glanduleux, avec ou sans poils glandulifères 32
32 Feuilles trifoliées, à folioles de 6-11 cm de long, fortement séricées sur les deux faces Argyrocytisus
32 Feuilles unifoliées, trifoliées, paripennées ou imparipennées, à folioles de toujours moins de 3 cm de long, à pilosité variable 33
33 Feuilles paripennées ou imparipennées, à 4 folioles ou plus 34
33 Feuilles unifoliées ou trifoliées 41
34 Gousse très enflée, membraneuse-papyracée, de 2-3 cm d’épaisseur Colutea
34 Gousse non enflée, linéaire-oblongue ou cylindrique, comprimée ou non, de moins de 1,5(2) cm de largeur ou d’épaisseur 35
35 Gousse en lomentum, à segments clairement marqués qui se séparent à la maturité 36
35 Gousse non lomentacée, déhiscente ou indéhiscente 37
36 Fleurs en inflorescences racémiformes. Gousse à segments notablement comprimés, aplanies, glabres ou poilues, à faces fréquemment épineuses. Corolle rosâtre, pourprée ou violette Greuteria
36 Fleurs en inflorescences ombelliformes. Gousse à segments subcylindriques de section plus ou moins circulaire, glabres. Corolle jaune ou rosâtre-pourpré Coronilla
37 Fleurs disposées en glomérules longuement pédonculés, terminaux ou axillaires. Corolle blanche, blanchâtre-rosâtre, jaune ou jaunâtre-orangé 38
37 Fleurs solitaires ou en inflorescences racémiformes, terminales ou axillaires. Corolle jaunâtre, rosâtre, brune, pourprée ou rougeâtre-pourpré 39
38 Tiges à indument séricé. Feuilles à (3)4-5 folioles. Corolle blanche ou blanchâtre-rosâtre Dorycnium
38 Tiges à indument villeux. Feuilles à généralement (3)5-19 folioles. Corolle jaune, jaunâtre-orangé ou blanchâtre-rosâtre Anthyllis pp
39 Corolle jaune Sesbania
39 Corolle rosâtre, brune, pourprée ou rougeâtre-pourprée 40
40 Indument à poils majoritairement ou tous bifurqués Indigofera pp
40 Indument à poils tous simples Tephrosia
41 Folioles à bord plus ou moins denté Ononis pp
41 Folioles à bord entier 42
42 Corolle rose ou pourpre. Gousse en lomentum, à segments clairement marqués, épineux, qui se séparent à la maturité Taverniera pp
42 Corolle jaune. Gousse non lomentacée, déhiscente ou indéhiscente, jamais épineuse 43
43 Gousse enflée, cylindrique-subglobuleuse Crotalaria
43 Gousse linéaire-oblongue ou ovoïde, toujours comprimée latéralement 44
44 Grande part du calice caduc avant l'anthèse, par l’intermédiaire d’une incision circoncise à proximité de sa base. Gousse de 40-60 mm. Plantes glabres Hesperolaburnum
44 Calice entièrement persistant. Gousse de 3-40(50) mm. Plantes plus ou moins poilues 45
45 Gousse à surface couverte de tubercules glanduleux (à exception de Adenocarpus anagyrifolius). Feuilles glabres Adenocarpus
45 Gousse à surface non couverte de tubercules glanduleux. Feuilles généralement plus ou moins poilues 46
46 Calice bilabié, à lèvres prononcées et fréquemment de tailles différentes, la supérieure bipartite et l’inférieure tridentée ou trifide Genista pp
46 Calice bilabié, à lèvres larges et de tailles subégales, la supérieure bidentée et l’inférieure tridentée, ou bien calice non bilabié, à bouche oblique et 5 dents semblables en tailles 47
47 Corolle de (9)13-35 mm. Gousse de 15-50 mm, linéaire-oblongue. Feuilles inférieures trifoliées, les supérieures trifoliées ou unifoliées Cytisus pp
47 Corolle de 4-6 mm. Gousse de 3-4 mm, ovoïde. Feuilles inférieures unifoliées, les supérieures trifoliées Anthyllis pp
Mis à jour par: J.A. Devesa.